|UQAR, Vitrine sur la recherche| Au Québec, des milliers de citoyens s’approvisionnent en eau à partir de puits privés. Pourtant, très peu suivent la recommandation de faire analyser leur eau deux fois par an. Cette situation expose les populations à des contaminants invisibles et crée des disparités en matière de santé publique entre les populations rurales et celles desservies par des réseaux municipaux surveillés. Une eau de puits non testée peut contenir des contaminants

|MELCCFP| Consultation publique Le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) travaille sur une troisième vague de modifications réglementaires qui fut scindée en trois chantiers. À titre de rappel, voici le sujet et l’état d’avancement des trois chantiers de cette 3e vague: Le premier chantier visait à apporter des ajustements à l’encadrement applicable aux prélèvements d’eau, aux pesticides et à la gestio

|FLO 96.5| Une étude de 81 000 $ sera menée à Sainte-Luce pour trouver les meilleures façons de capter et conserver la neige, afin de renforcer la recharge de la nappe phréatique et sécuriser l’approvisionnement en eau potable. Le projet, réalisé avec Terre-Eau, prévoit l’installation de haies brise-vent, dont certaines amovibles, sur 160 hectares pour limiter la perte de neige causée par le vent. Cette initiative répond à la baisse des chutes de neige observée depuis cinq an

|Le Reflet| La nappe phréatique dans la région de Montréal est un mètre plus basse qu’en 2024, conséquence d’un été sec et des changements climatiques. Cette baisse, généralisée au Québec, menace les rivières et la biodiversité. Le projet Re-Sources , mené par Florent Barbecot (UQAM) et plusieurs partenaires, vise à protéger et recharger les eaux souterraines en utilisant des solutions naturelles. «Il reste moins d’eau dans les nappes souterraines. Ça, c’est une évidence, c’e

|Radio-Canada| Cependant, avec les sécheresses qui risquent d’être "plus longues" et "plus prolongées" au fil des ans, M. Michon indique que les citoyens sont de plus en plus touchés ou, du moins, préoccupés. Selon la mairesse de Cantley, Nathalie Bélisle, la Municipalité attend de l’information de la part d'un consultant expert "pour savoir de quelles données on aurait besoin pour bien connaître notre aquifère". "L’idée, c’est de vraiment bien connaître notre aquifère", expl

|Radio-Canada| Le Québec fait face à des pénuries d’eau, notamment au Bas-Saint-Laurent, où des municipalités ont demandé aux citoyens de réduire leur consommation. La baisse des précipitations et des débits des rivières, aggravée par les changements climatiques, a d'ailleurs poussé le gouvernement à lancer un projet pilote de gestion active des prélèvements d'eau pour limiter la consommation des grands utilisateurs. Les solutions envisagées par les municipalités incluent :