|Université Laval| La cartographie des zones potentiellement exposées aux glissements de terrain dans les argiles sensibles constitue un outil clé pour la gestion des risques au Québec. Les argiles sensibles sont formées par le lessivage des massifs argileux par les eaux souterraines depuis leur déposition. Ils peuvent provoquer des glissements fortement rétrogressifs sous certaines conditions. Une meilleure compréhension du processus de lessivage pourrait améliorer la cartog

|Radio-Canada| Conséquence du manque d’eau au Québec, le niveau des nappes phréatiques, qui alimentent de nombreuses municipalités en eau potable, est en baisse. Des municipalités comme Saint-Alexandre en Montérégie craignent de voir leur réserve d'eau à sec au printemps prochain s'il n'y a pas plus de précipitations cet automne et durant l'hiver. Ces municipalités ont du dépensé des milliers de dollars pour faire venir de l'eau par camion citerne, installer de nouveaux réser

|Coup d'oeil| Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix a lancé, au mois de mai, un tout nouveau programme de suivi piézométrique, afin de mesurer le niveau de la nappe phréatique et ainsi mieux anticiper les risques de pénurie d’eau potable. Ce système représente un investissement d’environ 12 000 $. « Un rapport de la MRC du Haut-Richelieu a montré que Saint-Paul-de-l’Île-aux-Noix est très vulnérable au niveau de l’eau potable, révèle le directeur général de la municipalité, Jean-Pierre

|Météo Média| Pour Mme Larocque, la voie à suivre combine une meilleure connaissance de la ressource et une gestion intégrée : déployer la télémesure, publier des tableaux de bord publics des niveaux de nappes et coordonner les décisions à l’échelle des bassins versants pour tenir compte du lien entre les eaux de surface et les eaux souterraines. « On n’a pas un système de seuils, par exemple un niveau de nappe plus bas de quelques mètres ou dizaines de centimètres, qui ferai

|Feu Vert, Radio-Canada| "La recharge des aquifères se fait principalement au printemps à la fonte de la neige. Donc en hiver, le sol est gelé, il n’y a pas d’eau qui s’infiltre. Puis en été, la consommation d’eau des plantes fait s’évaporer tellement rapidement l’eau que pas beaucoup de recharge finalement atteint la nappe phréatique. Donc, même quand il ne pleut pas en été, comme actuellement, ce n’est pas exactement une catastrophe pour notre eau souterraine parce que la r

|Le Charlevoisien| Ce projet, intitulé « Caractérisation des prélèvements d’eau en filtration sur berge (FSB) », est mené par une équipe...