Le Québec assoiffé: est-ce qu'on navigue à l'aveugle?
- rqes
- 16 oct.
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Dernière mise à jour : 21 oct.
|Météo Média|
Pour Mme Larocque, la voie à suivre combine une meilleure connaissance de la ressource et une gestion intégrée : déployer la télémesure, publier des tableaux de bord publics des niveaux de nappes et coordonner les décisions à l’échelle des bassins versants pour tenir compte du lien entre les eaux de surface et les eaux souterraines.
« On n’a pas un système de seuils, par exemple un niveau de nappe plus bas de quelques mètres ou dizaines de centimètres, qui ferait lever un drapeau jaune pour dire : attention, à partir de maintenant, il faudrait diminuer ou prioriser nos prélèvements. »
Si limiter les prélèvements ne fera pas remonter le niveau de la nappe phréatique, cela peut au moins ralentir la baisse et, peut-être, assurer que les usages prioritaires, en premier lieu l’approvisionnement en eau potable pour les citoyens, soient maintenus le temps que la recharge revienne par la pluie ou la fonte des neiges.






